The descendants
The descendants :
The descendants, le film nominé aux 5 oscars de 2012... Pour ma part je dirais décevent, en effet malgrès une excellente interpretation de la part de George Clooney (et de Shailene Woodley actrice qui m'étais inconnus à ce jour), disons que c'est une film assez banal, l'histoire d'un drame familliale quoi...
En effet avec un début qui marque les réperes, le film se déroule à Hawaï ou le narrateur se plein de la situation actuel de l'île malgrès qu'il habite une immense villa, enfin bref on y trouve la famille "King" : un père de famille qui se retrouve seul à élever une de ses filles de bas age pendant que sa femme est dans la coma et une adolescente en conflit parentales avec la réaction des amis, de la famille, leurs peines... Rien de bien original n'est-ce pas? On aprend ensuite que lui et sa famille son les propriètaires d'un lieu paradisiaque sur Hawaï vallant une petite fortune (1/2 milliards de dollard rien que sa !), il est alors divisé entre les membres de sa famille qui souhaite gardé ce bout de terre et ceux qui souhaite le vendre et c'est lui bien évidemment qui aura le dernier mot sur cet vente !
Mais ses malheurs ne s'arrête pas ici ! En effet il apprend par la suite que l'état de santé de sa femme ne fais que se dégrader et qu'il est sans espoir, pour faire court, elle ne se réveillera pas du coma. Il décide alors d'allé chercher sa fille à son internat (qu'il retrouvera complétement torché en effet c'est une ado rebelle qui nous est présenté, originale !! Ah non...) pour qu'elle puisse dire aurevoir à sa mère une dernière fois. Mais vu que se chère Matt King n'a décidemment pas de chance, il apprend par sa fille que sa femme le trompé (comment sa c'étais prévisible ?!) et décide alors de se mettre à la recherche de ce "Brian Speer" qui se trouve être un agent immobilier.
En gros l'histoire du film se résume à cet phrase "Il décide de partir à la rencontre de l'amant de sa femme", le tout effectué dans une certaine lenteur pour laisser place aux émotions, sociopathe s'abstenir, qui est à la limite de la soporification, en effet il se passe pas grand choses, on a les clichés habituels, le couple d'amis partagé entre l'infidélité de la femme et la deuil du mari, le père de la fille qui en veut à la terre entière, et l'ami idiot de la fille qui je dois l'admettre a reussi à me faire rire...
Cependant il faut avoué que les décors sont tout simplement magnifiques (en même temps c'est Hawaï quoi...), et je souligne une nouvelle fois l'excellent prestation de George Clooney qui
